Le stublog de mrtouit


Canelle Ouali

01/11/2007 13:55
1.929 lectures
C'est la mi-soirée, la bière a coulé à flots, la faim grimpe dans l'estomac, c'est l'heure de se bourrer la panse. Après avoir observé tous les desserts pleins de couleurs sans intérêt (les fruits, à quoi ça sert ?...tiens je pourrais en faire un billet !), je repère ce magnifique gâteau d'un brun...euh bien brun. C'est du chocolat c'est sûr ! Je sens déjà la saveur, la salive se précipite dans ma bouche. Je saute dessus, je le découpe, il a l'air tendre voire un peu fondant. Je suis excité comme jamais.

En fait, j'ai tout intérêt à l'apprécier, puisque, fruit du hasard, je goûte ce gâteau pile en face de celui qui l'a fait. Bah, de toute façon, je vais adorer, c'est du gâteau au chocolat quand même ! Donc je mets un bon gros morceau dans ma bouche, je me décompose un petit peu, mais je reste digne quand cette personne me dit « alors tu aimes ? ».
Moi d'un ton un peu hésitant et déstabilisé : « hum oui c'est pas mal ».
Lui : « oué t'as vu j'ai mis de la cannelle, ça ajoute un peu de goût ».
Et le chocolat ça a pas de goût, connard ?!!! Tu voulais pas mettre du ketchup et des herbes de Provence tant qu'on y est ? Puis viens chier dans ma soupe, çà relèvera le goût aussi ! Rha, cette manie qu'ont les gens de toujours ajouter des trucs pour tenter de faire original m'exaspère. Genre, t'as vu, c'est ma touche personnelle, ma spécialité, la recette à la XXXX (insérez le nom de toute personne vous ayant fait subir la même horreur), limite je vais lui donner un nom, traverser les siècles, être éternel, aller au paradis ! Ben non, quoi arrête là, laisse les recettes millénaires comme elles sont, si elles ont traversées les siècles, c'est pas pour que tu viennes tout gâcher avec ta vieille cannelle pourrie...

J'ai en plus la désagréable sensation d'avoir été trompé. Au début de la soirée, ce Frankenstein de la cuisine m'annonce qu'il y a un gâteau au chocolat. En plus, elle me regarde en souriant et me dit ça d'un air complice du style « eheh je sais que t'est content, t'as vu je connais tes goûts, je sais que t'aimes çà le gâteau au chocolat hein ! ». Ben oui, j'aime le gâteau au chocolat, pas le gâteau au chocolat ET à la cannelle. C'était quand même une indication suffisamment importante pour ne pas être passée sous silence. Pour éviter ces désillusions, faudrait peut-être mettre genre une pancarte bien visible sur le gâteau qui dirait « attention, j'ai rajouté de la cannelle dans ce gâteau pour le rendre moins bon, merci de votre compréhension ». Mieux vaut prévenir quand on ne peut pas guérir...

Prochain épisode de la série « comment pourrir les bons trucs » : la noix de coco.

A...ccordez garçons! (extraits inside)

23/09/2007 20:31
760 lectures
Je suis un grand fan d'accordéon lorsqu'il est employé avec ses fameux accords mineurs qui rendent une musique niaise rapidement mélancolique. On trouve souvent ce genre de mélodies dans les chansons folk, comme le très populaire «Bella Ciao ». Par contre, je passerai outre les musiques trop populaires à la « Viens boire un p'tit coup à la maison ». L'accordéon est aussi de temps en temps présent en chanson française actuelle (Ogres, Rue Kétanou & co) me fait presque aimer quelques unes de leurs chansons. Et ma culture étant limitée, je n'évoquerai pas les chansons alsaciennes contenant cet instrument.

La dance music a bien compris que l'essayer, c'est l'adopter. Je pense à « Taboo – Sous la tour eiffel » et bien sûr le tubesque Ilona et son Monde Parfait ! D'ailleurs la déferlante va peut-être continuer avec l'album de Verka Serudchka (le 2e de l'Eurovision 2007) et son hymne au défoulement avec sa chorégraphie débile « Danzing » » (pour lequel j'ai fait un sublime remix, voyez vous-même ici).
Mais l'accordéon s'intègre dans des styles electro plus actuels où, par exemple, Modeselektor l'emploie à merveille pour « Une Bande De Mecs Sympas » en featuring avec TTC.
Mais au-delà des mélodies plus mélancoliques, l'accordéon sait très bien jouer des accords majeurs inspirant la joie et la fête comme dans le tube qui commence doucement à devenir incontournable : Samim - Heater.

Si vous connaissez des titres dance/electro employant de l'accordéon ou des sons qui ressemblent, MPez moi, je suis preneur!

Rugbix

22/09/2007 00:08
1.086 lectures
Je suis (du verbe être) un peu la coupe du monde de rugby et surtout l'équipe de France. Non je ne suivais pas le rugby avant, je suis l'un de ses nombreux faux fans apparus avec la coupe du monde. Tout juste sais-je que la France a emporté la demi contre les All Blacks en 1999 et que l'Angleterre est championne du monde. Non je ne suivrais pas le top 14 à la rentrée et non je ne comprends pas la moitié des règles. Mais je l'assume. Les essais, c'est grisant, çà va vite et çà défonce. Enfin un vrai sport d'homme dans lequel je retrouve ma virilité...jusqu'à la 42e minute de ce France – Irlande.

Un tir français au loin atterit dans les bras d'un Irlandais. Les gens dans le pub ne beuglaient pas trop à ce moment, ce qui me permit de distinctement entendre l'arbitre crier « offside ». Ah tiens, il est hors-jeu. Ok. Mon corps commence à trembler, je faiblis...la question fatidique me vient à la bouche...je n'y crois pas...si ça y est, je me pose la question dans ma tête...la question tant redoutée :
« C'EST QUOI LA REGLE DU HORS-JEU ??? »

Je ne vous fais pas de dessin sur la symbolique de cette question dans le milieu footbalistique. Ma virilité que je croyais au summum en regardant ce combat d'hommes une pinte à la main est déchue l'espace d'un instant. Qu'est-ce qui se passe, pourquoi j'ose me poser cette question ? Une règle un peu compliquée et voilà que tout est dépeuplé, je ne comprends rien. Je me vois expliquer le hors-jeu en football d'un air fier à toutes ces femmes avides de savoir accrochées à mon corps (ou pas). Et me voilà dans le camp inverse. Mais tout va bien, je reprends mes esprits. Après tout je suis un faux fan et j'assume. On mène bien 15 - 3 à la mi-temps alors que je n'ai pas du tout compris pourquoi on a obtenu toutes ces pénalités, ce n'est donc pas ce pauvre hors jeu qui va me déstabiliser ! Je suis un faux fan et j'assume. Si si, j'assume. Non ? Mais si allez soyez sympa, laissez moi croire que j'assume...

Il ne manguait plus que çà...

19/09/2007 13:36
702 lectures
Lors de mon séjour parisien, nous avions (mon coloc et moi) plusieurs fois des invités. Evidemment parce qu'ils restaient longtemps ou parce qu'ils étaient juste sympas, ils ont parfois pris l'initiative de faire des petites courses. Le Ed étant à deux rues, la motivation était là. Ils achètent plein de bons trucs, de quoi faire un apéro ou petit déjeuner. Mais comme le magasin n'est qu'une petite surface discount, le choix est bien vite limité. Alors quand on voit des produits qui sortent un peu de l'ordinaire, la tentation de les acheter est grande. Sûrement que nos amis, après s'être fournis en nourriture, se sont dit « qu'est ce qu'on boit ? ». Et là, ce fut le drame.

Fourré entre les jus d'orange (classique mais efficace) et les jus de pomme (classique mais aussi efficace), se trouve le démon : la bouteille de jus de mangue. Elle n'a pas l'air comme çà, mais elle est en fait très attirante. Moi-même je trouvais l'idée de l'acheter plutôt sympa. Une belle bouteille contenant un liquide orange foncé, qui rappelle les meilleurs jus d'orange intenses en goût. Je sens déjà le sucre mélangé à l'amer qui va nous faire dire « hmm c'est bon ce truc-là ! ». Et puis le mot « mangue » est évocateur : ça y est, on est dans les îles, c'est exotique, ça va être la touche de fun des repas.

Le moment attendu est enfin arrivé, la bouteille est ouverte et le liquide dans le verre. Je bois. Je constate. C'est infect.

Vous allez me dire que je râle mais je n'étais pas seul de cet avis, ce qui me rassure sur le fait que je ne suis pas complètement intolérant à l'exotisme (ce dont vous pouvez certainement en douter au fil de mes billets). Je crois que seul le jus de goyave-fraise peut se classer en dessous dans la catégorie « exotique et pas bon ». Dire que cette mésaventure m'est arrivée deux fois. Retournons aux valeurs sûres, je ne veux pas d'exotisme pour varier mes déplaisirs. Quand c'est pas bon, c'est pas bon !!! Et le jus de mangue...ben c'est pas bon.

Le culte de la patate

11/09/2007 12:18
2.278 lectures
Nous sommes des blasés. On mange certains aliments tellement souvent dans notre quotidien qu'on en oublie leur beauté et qu'on en ressent plus leur goût. On mange finalement les mêmes choses régulièrement et on ne s'émerveille plus devant rien. Des pommes, des steaks, du riz, des pâtes...cette nourriture forme nos repas quotidiens de manière insipide. Avouez qu'il est rare qu'on dise d'une pomme qu'elle est « au-dessus du lot » ou qu'on déclare d'une bouchée de spaghettis qu'elle « déchire sa mère ».

Est-ce que, par exemple, vous vous êtes déjà excités en pensant que vous alliez manger des frites ? Certainement pas depuis la cantine du primaire. Il y a pourtant ici un phénomène intéressant : tous les enfants réclament des frites à la cantine. Même au collège, au lycée, voire au Resto U, la présence de frites est toujours plaisante. Certes, leur qualité ne crée jamais des poussées d'hormones à leur vue et, mais il est rare de se « oh non, pas des frites ». Les frites, c'est toujours agréable. C'est qu'il y a sûrement un truc derrière tout ça.
Et je crois l'avoir trouvé.

C'est mon expédition nordique qui m'a ouvert les yeux. Par « nordique », j'entends la région Nord-Pas-de-Calais. J'étais à Dunkerque, près de la frontière belge. Je n'aurais pas un été un bon touriste si je n'avais pas mangé des moules-frites là-bas. J'ai donc joyeusement investi un restaurant pour déguster ce plat.
Première constatation : les moules, c'est mignon, c'est sympa, çà a l'air sincère, mais ça ne vaut pas un steak. Deuxième constatation : les frites sont exquises.

Quoi ? Les frites ? Là, je vous vois penser tout haut « ohlàlà, un peu d'exotisme et il ne supporte pas, encore un qui rejette les produits de la mer, il n'a jamais appris à manger, en dehors de son steak-frites il ne connaît rien, retourne à ton kebab vieux crétin! » Mais non, pourtant vous ne vous trompez pas, c'est bien pour les frites que mes coeur, cerveau et estomac se sont enflammés.
Dorées et croustillantes à l'extérieur, fondantes à l'intérieur, parsemées de sel juste ce qu'il faut, on était bien loin des frites mal faites de la maison, des frites des fast-foods, voire des frites d'autres restaurants de France et d'ailleurs. La fameuse double cuisson doit y être pour quelque chose. Et en plus, elles ne sentent pas l'huile. Est-ce le restaurant qui était exceptionnel ou est-ce vraiment un savoir-faire régional? Il fallait le vérifier et voici le bilan :

- Frites d'un autre restaurant dunkerquois : excellentes.
- Frites du KFC Roubaix : meilleures que les frites des autres fast-food.
- Frites d'un baraque à frites dunkerquoise : du bonheur. Peut-être les meilleures que j'ai mangées de ma vie.

Quel plaisir de redécouvrir cet aliment du quotidien sous ses formes les plus abouties ! Je n'aurais jamais cru quelque temps auparavant, que cet aliment le plus banal qui soit, fasse vibrer mes papilles comme une tête de Renteria. J'aimerais passer des heures à vous décrire leur aspect et le plaisir que j'ai éprouvé mais je ne peux plus mettre de mots : c'est juste trop bon. Je ne ferais d'ailleurs pas l'éloge de la sauce. La bonne frite se suffit à elle-même. Ketchup, mayo et consorts ne servent qu'à améliorer le goût des frites de qualité moyenne, celles que nous mangeons trop souvent et qui nous fait oublier la beauté de ce mets.

J'ai malheureusement pu entendre de la bouche de certaines personnes « une frite, ça reste une frite », avant de les noyer dans une montagne de mayonnaise (les frites, pas les personnes). Ce n'est pas grave, je les pardonne, l'ignorance n'est pas blâmable. Même dans mon cas, cette découverte arrive fort tard dans ma courte existence. Par ailleurs, je vous suggère fortement d'écouter la chanson « Pom pom pom frites » des Blaireaux, groupe du Nord dont les membres ont compris depuis longtemps leur chance d'être nés dans cette région bénie.

Je ne peux finir ce billet sans rendre hommage à la génitrice de ces frites : la patate. Sans elle, les frites n'existeraient pas et l'humanité ne serait que désolation. Et bien que la frite soit son enfant le mieux réussi, il serait dommage d'omettre ses frères et soeurs. Les patates chauffées à l'eau, les patates sautées, ou encore l'alcool de patate méritent presque autant de considération. Bravo Parmentier !

http://mrtouit1.free.fr/parmentier.jpg

PS : Merci aussi à Rage pour cette invitation à Dunkerque et m'avoir permis de redécouvrir les joies des frites.

Pourquoi je n'aime pas manger grec...

06/09/2007 15:01
1.727 lectures
Il arrive toujours un moment dans une année où quelqu'un se décide à organiser un repas à thème. Soit chez cette personne, soit au restaurant. Evidemment, l'idée est toujours séduisante, on pense immédiatement que l'on va bien manger et bien rigoler entre amis. Le chinois et le japonais devenant trop populaires, le repas grec s'impose comme une des stars de l'évasion culinaire.

Une fois le groupe à table le jour fatidique, les plats arrivent en masse. Tous les yeux s'écarquillent : des tonnes de petites assiettes remplies d'aliments et de sauces variées et colorées. La salive remonte, les babines sont léchées, l'estomac en mode open, et je me vois déjà tout dévorer. D'ailleurs je me demande par quoi commencer tellement le choix est grand. Vais-je prendre du pain avec du houmous ? un peu de tarama ? des feuilles de vignes roulées ? Allez un peu de chaque...et c'est plutôt bon... . Ah je pensais qu'il y avait de la viande à l'intérieur de ces feuilles...bon du riz, c'est bien aussi et puis, ce n'est que l'entrée !

Allez assez rigolé, je commence par prendre des blocs : deux bonnes grosses cuillerées de salade grecque, trois énormes de taboulé, l'assiette est presque pleine. Je me motive pour prendre un peu de sauce et pour mettre la viande à côté. Je saisis cette mini-assiette d'émincé de poulet au citron. Il y a très peu de morceaux tiens...Bon je ne vais pas abuser, il faut en laisser pour les autres. Je cherche donc une autre viande. Je balaie donc les 23 assiettes du regard et....il n'y a pas un seul morceau de viande apparent ! Des roulés au fromage, des bols de sauce, de la salade et du pain en veux tu en voilà...mais un gros morceau de quelque chose qui ressemblerait à de l'animal, ça n'existe pas ! De plus, tout le reste étant en petite quantité, le gros du repas est donc le taboulé. Bien sûr, être agrémenté de morceaux de poulet n'est pas dans sa destinée.

Une fois la frustration vécue, il faut prendre les choses en main : « tu as faim, mange ». Donc là, c'est l'heure d'abuser. Mais le problème comme je l'ai dit, c'est que tout est en petite quantité. Il ne reste très vite que du pain et de la sauce. Et comme je crève encore de faim, je me rabats sur le truc que j'aime le plus. On peut dire que le pain-houmous en quantité hardcore a comblé ma faim. Mais les joies de la variété de tous ces trucs à l'huile, et de la quantité impressionnante de sauce(s) que l'on peut s'enfiler mène à l'inéluctable : le mal de ventre. Oui j'ai beaucoup mangé, mais j'ai surtout très mal mangé. Ma faim monumentale s'est comblée par la méthode du bourrage de ventre, comme si j'avais abusé des chips à l'apéro.

Messieurs dames, sous prétexte d'exotisme, d'évasion et de variété, doit-on s'infliger un repas qui n'est qu'un apéro, qu'une entrée géante mal équilibrée qui attaque notre estomac ?
Je dis non ! Restons à nos classiques ! Un morceau de viande, de poisson, de quelque chose de gros, de concret, de bien accompagné, avec toute l'exotisme qu'on veut dans la garniture, mais il faut que cela reste consistant et U-N-I-F-O-R-M-E !
Le repas grec (marche aussi avec libanais ou turc) c'est complètement de la poudre aux yeux : une vingtaine d'assiettes alléchantes pour au final ne rien mange de concret ! Je refuse de frustrer mon appétit et de détruire mon intestin parce « c'est cool de manger des choses qui viennent d'ailleurs » !
Ou alors mettez-moi un pavé de boeuf à côté.

Jérémy

PS : Je vous fais grâce d'un pamphlet contre les gâteaux au sucre.

Carole et les Choucroutes

05/09/2007 01:48
386 lectures
Il y a toujours un moment où il faut faire sa propre pub!

Carole von Elsass


Flammekueche


(Faut plutôt écouter la musique que regarder les clips qui se limitent à 3 images hum hum)

Merci à Fanny, Carole et Jonathan!

A l'attention du Colonel Sanders

02/09/2007 13:46
1.695 lectures
Personne ne peut contester la suprématie du kebab strasbourgeois. La capitale alsacienne est peut-être la seule ville au monde où l'on peut s'organiser une sortie kebab entre amis. On le mange quand on a un petit creux, ou par pure gourmandise. On lui trouve toujours un défaut, mais il est vite oublié devant la saveur de ce mets. Merci Köse, la Corne d'or, le Pamukkale et j'en passe...Je ne connais pas d'autre plaisir à 3€50, mis à part une place en populaire lors d'une victoire du Racing.

Mais malgré l'addiction qu'on peut porter à ce repas, il peut arriver qu'on ait envie de varier les plaisirs. Un MacDo ? C'est cher et ça ne remplit pas. Les gens se plaignent toujours après de toute façon : j'ai mal au ventre, j'ai faim, çà me dégoûte, c'est gras, mon dieu j'aurais du prendre une salade, je ne reviendrais plus (résolution qui tient 2 jours en moyenne), etc.... N'y a-t-il pas donc pas d'alternative possible ? Ne peut-on pas changer de type de plat ? Voire changer de viande? Vous voyez peut-être où je veux en venir...
Oui je veux parler de poulet ! Non, pas de McChicken...mais de vrai bon poulet pané ! Croustillant, consistant, et gras comme on aime (pensez à la fin de votre kebab où l'huile enduit le pain avec ce petit goût de viande...ne me dites pas que vous n'aimez pas le gras après ça) !

Mr Kentucky, qu'attendez-vous pour ouvrir des restaurants en Alsace ? Vous satisfaites Paris et sa région, le sud et le nord de la France, pourquoi une région noble et peuplée comme la nôtre n'aurait pas droit à ces plats ? Combattez la suprématie de MacDo et de Quick, apportez des nouvelles saveurs avec vos 11 épices, comblez nos estomacs de Wings et Tenders, renforcez nos amitiés avec vos Bucket Friends...Oublions les pains et les sauces qui pèsent sur l'estomac, concentrons-nous sur la viande ! Strasbourg doit connaître, elle le mérite. Colonel Sanders, ouvrez donc un KFC !

http://mrtouit1.free.fr/kfc.jpg
Flux RSS Le stublog de mrtouit : billets, photos, souvenirs, activité racingstub.com, livre d'or...

mrtouit

Voir son profil complet

Chargement... Chargement...